ECONOMIE
La fortune que le FC Barcelone doit à Lionel Messi et qui l’a fait exploser jusqu’à ce qu’il veuille partir

La partie catalane endette l’Argentin de plusieurs millions et il a été révélé que c’était l’une des raisons pour lesquelles il voulait partir.
Lionel Messi voulait quitter le FC Barcelone en 2020, et il l’a clairement dit à voix haute au monde entier. Le problème pour l’Argentin était que l’ex-président Josep María Bartomeu avait un plan différent pour lui et lui a interdit son départ, ce qui a coûté sa propre sortie plus tard dans l’histoire.
Les raisons pour lesquelles le non historique. 10 voulaient partir sont nombreux, mais il y en avait un qui a été révélé début 2021. La presse espagnole a publié aujourd’hui que le Barça dettes à Messi deux bonus de 39 millions de dollars chacun qu’ils auraient déjà dû lui verser, mais qu’ils ne l’ont pas fait. car ils avaient des problèmes financiers après la pandémie du COVID-19.
Messi n’a pas forcé le club à payer et a déclaré qu’il attendrait, même si ce geste pourrait être considéré comme un clin d’œil pour lui lors du prochain mercato.
Son contrat expirant en juin 2021, la légende est désormais disponible pour négocier avec tous les clubs du monde qu’elle souhaite, car les règles de la FIFA lui permettent de le faire.
Avec 33 ans, de nombreux clubs souhaitent le signer, même si seuls quelques-uns peuvent se permettre son contrat coûteux. Le Paris Saint-Germain, Manchester City ou une équipe de la MLS sont les options qu’il envisage aujourd’hui, s’il décide enfin de quitter Barcelone et de mettre fin à une relation de fidélité basée sur 20 ans au club.

ACTUALITÉ
Le PDG de Morgan Stanley va toucher 33 millions de dollars pour 2020

Le PDG de la banque d’affaires américaine Morgan Stanley, James Gorman, va toucher 33 millions de dollars au titre de sa rémunération pour l’année 2020, en hausse de plus de 22% par rapport à 2019.
La banque explique avoir «fondé sa décision sur son évaluation de la performance individuelle exceptionnelle de M. Gorman, à la fois quant aux progrès importants dans la mise en oeuvre de la stratégie à long terme (…), et à la performance financière record de l’entreprise pour 2020», selon un document transmis par Morgan Stanley au gendarme boursier américain (SEC).
Le bénéfice net de la banque a progressé de 23% en 2020, à 10,5 milliards de dollars, porté par une hausse du chiffre d’affaires de 16% à 48,2 milliards de dollars.
La rémunération de James Gorman est composée d’un salaire de base de 1,5 million de dollars, d’un bonus de 7,875 millions versé directement, le reste étant composé d’actions, dont une partie est soumise aux résultats de l’entreprise dans les trois prochaines années. Gorman, 62 ans, est à la tête de la sixième banque américaine depuis une décennie.
En 2019, sa rémunération avait baissé de 6,9%, à 27 millions de dollars.
Avec AFP
ECONOMIE
La ZLECAF est opérationnelle (responsable)

La Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF) est entrée dans sa phase opérationnelle.
Son Secrétaire général, Wamkele Mene, a affirmé que «le voyage de l’Afrique vers l’intégration des marchés a commencé sérieusement avec le début des échanges commerciaux» depuis le 1er janvier 2021.
Au cours d’une conférence de presse virtuelle, hier mercredi, M. Mene a rejeté l’idée selon laquelle l’accord la ZLECAF est précipité, affirmant qu’il n’existe pas d’accord commercial où tous les membres sont prêts en même temps.
«Des pays comme le Ghana, l’Égypte et l’Afrique du Sud sont en fait prêts avec des infrastructures douanières requises pour assurer le démarrage d’échanges commerciaux significatifs», a-t-il déclaré, ajoutant que le Ghana a officiellement annoncé le 4 janvier dernier la première expédition de marchandises à exporter dans le cadre de la ZLECAF, un événement que d’autres pays reproduiront bientôt pour marquer l’étape.
«Le point le plus important que je veux souligner est que l’Afrique fait maintenant du commerce selon de nouvelles règles, de nouvelles préférences, parce que nous voulons construire un marché unique intégré sur le continent africain. Il faudra peut-être un certain temps avant que chacun d’entre nous en perçoive les avantages directs. Nous ne nous laisserons pas dissuader par nos détracteurs qui disent ne pas voir la preuve que les échanges commerciaux ont réellement commencé», a expliqué Mene.
Selon lui, l’intégration des marchés n’est pas un événement, mais un processus qui prend du temps, soulignant qu’il a fallu à l’Union européenne près de 60 ans pour atteindre son niveau d’intégration actuel.
«Je n’ai jamais entendu parler d’un accord commercial où tous les pays étaient prêts dès le premier jour […]. L’intégration des marchés africains prendra du temps, mais il faut bien commencer quelque part», a-t-il déclaré.
L’accord commercial continental devait officiellement entrer en vigueur le 1er juillet 2020, mais il a été reporté de six mois en raison de la pandémie de Covid-19.
La ZLECAF offre à l’Afrique la possibilité de créer la plus grande zone de libre-échange du monde, avec le potentiel de réunir plus de 1,2 milliard de personnes et d’ouvrir une nouvelle ère de développement.
Elle a également le potentiel de générer toute une série d’avantages en favorisant la création d’échanges commerciaux, la transformation structurelle, l’emploi productif et la réduction de la pauvreté. Sur les 55 pays du continent, seule l’Érythrée doit encore signer l’accord, qui a déjà été ratifié par 34 États membres.
Par l’intermédiaire de son Centre africain pour la politique commerciale (ATPC), la Commission économique pour l’Afrique (CEA) a travaillé avec la Commission de l’Union africaine (CUA) et les États membres afin d’approfondir l’intégration commerciale de l’Afrique et de mettre en œuvre efficacement l’accord par le biais de la promotion des politiques et de l’élaboration de stratégies nationales.
La CEA travaille également avec le Centre du commerce international (ITC), la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED) et des experts commerciaux indépendants, avec le soutien financier de l’Union européenne, pour soutenir la mise en œuvre de l’accord de libre-échange africain sur tout le continent.
GIK/lb/te/APA