Quel dilemme ? C’est l’histoire d’une jeune femme qui demande votre avis sur une situation compliquée qui la taraude suite à une grossesse dont l’auteur est son beau-frère, le mari de sa grande soeur.

En Afrique, il est observé que la plupart des couples ont été assistés par des belles soeurs afin d’assister la femme au foyer dans ses tâches ménagères. Cette solution est certes bonnes, mais qui n’est sans conséquences des fois.

Surtout quand l’épouse a affaire à un coureur de jupons comme mari et une soeur trop agitée, la fin ne donne jamais un sentiment tendre. C’est l’exemple de cette jeune femme qui s’est laissée séduire par son beau frère qui a fini par l’enceinter.

La fille s’est confiée sur les réseaux sociaux demandant des conseils aux internautes : «Je suis enceinte du mari de ma grande sœur, je n’ai pas pu résister à son charme. Il ne veut pas de cet enfant et moi je ne veux pas perdre mon premier bébé.» Avoue-t-elle. Cette grossesse ne posait pas grand problème jusqu’au jour où la grande sœur a voulu en savoir plus.

«Ma grande sœur veut connaître le père du bébé et je ne sais quoi lui dire. Je vais quitter leur maison pour aller accoucher au village car je veux de ce bébé. Je veux savoir ce que vous pensez de ma décision», poursuit-elle.

Alors, que doit-elle faire ? Avorter la grossesse pour sauver le foyer de sa grande soeur ? garder le bébé en secret sans rien dire et subir les retombées ? Ou, dire la vérité à sa grande soeur et s’assoir pour observer la suite ? Votre avis…

Selon des informations rapportées par la chaîne Angel TV, une jeune femme ghanéenne a rendu l’âme dans un viol où plusieurs hommes l’ont doigtés jusqu’à épuisement.

La scène s’est produite à Kasoa au Ghana. La victime a été violentée sexuellement par un groupe d’hommes qui l’ont séquestré.

Selon les informations rapportées, la jeune femme aurait été caressée puis doigtée jusqu’à épuisement. La violence des doigtés exercée sur son appareil génital aurait été la cause de son décès.

La police informée de la situation a ouvert une enquête pour retrouver les coupables. Mais selon des sources, la police ne dispose d’aucun élément permettant d’identifier ses derniers. Et aucune déclaration n’a encore été faite.