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Côte d’Ivoire : «J’ai demandé la main d’Emma Lohoues et elle a accepté», Olopkatcha

L’ex ami de DJ Arafat, Olopkatcha, fait de graves révélations lors de son direct sur sa page officiel Facebook. En effet, c’est durant son live, que Olopkatcha, l’ex bras droit du défunt roi du coupé décalé, Arafat DJ, a affirmé qu’il compte faire de Emma Lohoues sa femme dans les prochaines jours.
«Très bientôt je vais casser les papos, j’ai des révélations à donner. On joue pas avec le travail, c’est pas amusement hien les vraies révélations. Ça me fatigue tellement que…Il y a des gens qui se foutent de moi. C’est à dire je vais fermer leurs bouches là ils vont me respecter.
Très bientôt, je me marie c’est pas de l’amusement. J’ai demandé sa main et elle a accepté et je me marie maintenant avec Emma Lohoues dans deux jours là, je vais l’épouser, elle a accepté.
Quand vous ne me voyez pas entrain de faire des directs c’est parce qu’elle m’a donné beaucoup de conseils et j’affiche maintenant que je me marie avec Emma Lohoues bientôt donc apprêtez vous. Bébé je t’aime si tu regardes ça, je t’aime , I love you. Il reste le “kôkôkô”, la dot et le mariage donc mon coeur ne bat plus il n’ont qu’a raconter c’est eux qui parlent», a déclaré Olopkatcha pendant son direct.
Une déclaration inattendue qui a suscité de vives réactions auprès des interanutes. À l’exemple d’un, qui affirme: «Tu attendais quoi depuis pour le faire? Tu suivais Arafat partout pendant ce temps, ta vie dormais aussi. Il a falu qu’il meurt pour que tu te réveilles de ton sommeil», a martelé un internaute en commentaire
Un autre internaute quant à lui, confie: «Mais Arafat ton meilleur ami est sorti avec Emma Lohoues et c’est elle tu veux marié»

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Congo : Denis Sassou Nguesso prête serment devant une vingtaine de dirigeants africains

Le président Denis Sassou Nguesso, proclamé vainqueur de la présidentielle au Congo, a été investi vendredi à Brazzaville pour un quatrième mandat, en promettant devant une vingtaine de chefs d’Etat africains de défendre la forêt du bassin du Congo, «poumon africain qui fait respirer le monde».
A 77 ans, M. Sassou a été investi pour un nouveau mandat de cinq ans à la tête du Congo-Brazzaville, pays d’Afrique centrale riche en pétrole et en bois, qui s’étend au milieu des forêts et des tourbières du bassin du Congo.
A un peu plus de six mois de la COP26 prévue à Glasgow en novembre, l’ancien officier a promis de «donner au Congo la dimension mondiale qu’il mérite en matière de protection de l’environnement et de la biodiversité». «On ne dira plus l’Afrique noire mais l’Afrique verte», a ajouté le président «DSN».
Sur le plan intérieur, M. Sassou a promis une «politique de tolérance zéro» à l’égard des détournements de fonds et de l’enrichissement illicite. «J’y veillerai», a insisté le président réélu. Une vingtaine de chefs d’Etat africains ont fait le déplacement de Brazzaville pour l’investiture de DSN, ceux d’Angola, Burkina Faso, Burundi, Centrafrique, République démocratique du Congo, Côte d’Ivoire, Ethiopie, Ghana, Guinée, Guinée Equatoriale, Liberia, Mauritanie, Mali, Namibie, Niger, Sénégal, Tchad et Togo.
L’Algérie, le Cameroun, le Gabon, le Rwanda, l’Afrique du Sud se sont fait représenter par leurs Premiers ministres ou un responsable de haut rang pour l’investiture de M. Sassou, impliqué dans des médiations africaines dans les conflits régionaux (Libye, Centrafrique, RDC). Reprenant un thème de campagne, le président a promis une «révolution agricole» pour sortir son pays de sa dépendance au pétrole et aux importations.
M. Sassou Nguesso a été élu lors du scrutin du 21 mars, contre six adversaires, avec 88,40% de suffrages, selon les résultats validés par la Cour constitutionnelle. Trois de ses opposants ont déposé des recours en annulation qui ont été rejetés. Son principal adversaire, Guy-Brice Parfait Kolélas, est décédé du Covid-19 le lendemain du jour du scrutin, à son arrivée en France pour une évacuation sanitaire.
Avec LSI AFRICA
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Bénin : l’opposant Joël Aïvo déposé en prison

Le professeur Joël Aïvo, candidat recalé à l’élection présidentielle n’a pas été libéré.
Gardé à vue depuis le jeudi 15 Avril 2021, Joël Aïvo a été présenté ce vendredi soir au procureur spécial, Mario Mètonnou près la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
Joël Aïvo et 3 autres personnes ont été placés en détention provisoire pour atteinte à la sûreté et blanchiment de capitaux et leur audience est prévue pour le 15 juillet.